top of page
RAC06253.jpg

SOLO THEATRAL

ANAk BALI

UN CONTE MODERNE

UNE HISTOIRE VRAIE

CELLE D'ANA...

RAC06147.jpg

Credit @Rachelle Cassetta

ANAK BALI, un solo théâtral, qui célèbre la poursuite des rêves les plus audacieux. Au-delà de son exploration de la culture Balinaise, ANAK BALI est une ode inspirante à la détermination et au courage nécessaires pour aller au bout de nos aspirations les plus profondes.

Au cœur de notre performance se trouve l'histoire vraie et inspirante d'ANA (Joanna Belloni), une jeune femme intrépide qui se lance dans un voyage initiatique, guidée par sa passion pour le théâtre et sa connexion avec le Topeng balinais.

L'HISTOIRE

Le Mardi 13 octobre 2015, Ana, jeune femme occidentale, va danser pour la première fois le masque Topèng (traditionnellement dansé par les hommes) dans un temple Balinais lors d’une cérémonie rituelle dans le village de Lokapaska. Le vertigineux escalier qu'elle doit descendre ce jour-là pour aller danser lui rappelle l'escalier parisien de sept étages qu'elle a descendu en trombe pour s’envoler pour la première fois vers la toute petite île de Bali dans l’archipel indonésien…

C’était aussi un Mardi, il y a tout juste 3 ans, 1 mois et 16 jours, le 28 Août 2012, que l’intrépide Ana quitte sa chambre de bonne exigüe, check-list en poche, sac sur le dos, images de cartes postales en tête, sans soupçonner alors que ce voyage serait le début d’une longue histoire d’amour avec l’île de Bali. De ce souvenir vivace, Ana retrace le fil des événements de son histoire hors-normes pour gravir les marches de cet édifice qu’est la danse Topeng et délivre avec sincérité une aventure théâtrale et spirituelle au rythme des va-et-vient entre culture d’origine et culture d’accueil jusqu’à l’immersion totale.

"N'oublie pas les quatre grands principes 

quand tu vas vers le Sud, souviens toi du Nord

quand tu vas vers l'Ouest, souviens toi de l'Est."

RAC06132.jpg

UN THEATRE
VIVANT

Comment une culture que nous ne connaissons pas peut-elle nous interpeller intimement? Grâce au théâtre, des personnes de cultures différentes se rencontrent, qui n’auraient pas, sans le lien du théâtre, eu l’occasion de s’inviter pour le thé. Ce que chacun cherche dans le théâtre, peut être très varié. Un lien à une culture, un moment de communication avec des forces qui nous échappent ? Un lien avec une source vitale ? Anak Bali raconte comment le théâtre est à la fois un artisanat, une tradition et un art mystique.

Ensemble nous avons pu concevoir un spectacle à la fois dans le souci du respect du Topeng et dans celui de profiter de la liberté qu’offre un plateau. Nous avons puisé dans la réalité pour en extirper la théâtralité, cherchant à révéler le sens, le comique, les bouleversements des situations vécues ; plutôt que d’expliquer les découvertes culturelles, nous avons privilégié le ressenti. 

Initiés au contexte et à la culture balinaise, nous souhaitons que les spectateurs puissent être touchés par une théâtralité de plus en plus forte, qu’ils se sentent concernés par des gestes de moins en moins réalistes, jusqu’à ceux de la danse puissante et extrêmement délicate du topeng Dalem Arsewijaya.     

 

Interview Guyane 1ère - Emission Makandi - 23/05/2023

 

"Seule en scène, je joue tous les personnages!!!"

Les chemins de la théâtralité

Différents niveaux de théâtralité s'exercent au cours de la représentation: une alternance avec le jeu non masqué et le jeu avec les demi-masques de caractère ; qui demandent un engagement du corps et des codes de jeu différents que lorsque que l’acteur n’est pas masqué.

Dans de nombreuses cultures l’une des quêtes de l’acteur-danseur est de pouvoir prêter son corps à des énergies non quotidiennes, à des histoires épiques.

Les mouvements et les gestes, qui appartiennent au monde de la danse, sont pourtant écrits et inspirés des gestes du quotidien, de ceux des prêtres lors des cérémonies ou encore de la nature. Il n’est pas facile de recevoir cette danse pour un occidental.

Dans Anak Bali, le spectateur a le temps de cheminer de sa propre culture vers la culture balinaise. Emporté dans l'histoire d'Ana, il peut s’identifier, s'ouvrir, s'émouvoir, voyager...

Les muscles d'un nouveau langage

Anak Bali, c'est l'histoire d'un corps qui découvre les muscles insoupçonnés d'un nouveau langage. Apprendre le Topeng c’est un choix de vie qui se fait pour des raisons si profondes qu’elles ne sont pas forcément raisonnables et deviennent difficiles à partager avec la famille et l’entourage.

Partir pour l'inconnu, partir loin, longtemps, c'est laisser derrière soi des petits bouts de vies, certes, mais partir pour apprendre c'est muscler son esprit, son imaginaire, son humilité.

 

En allant découvrir un nouveau théâtre, c'est une nouvelle culture, une nouvelle façon de voir le monde, une nouvelle façon de faire une place au sacré, de considérer les liens entre les humains et la nature que "Ana" découvre  et qu'elle partage avec le public.

"Ce n'est pas moi, c'est le masque qui danse."

 

 

 

Ecriture et mise en scène : Joanna Belloni

(en collaboration avec Apolline Roy)

Regard Chorégraphique : Elisabeth Cecchi

Interprétation : Joanna Belloni

Voix Off: Elisabeth Cecchi

Facteur de Masques : I Kadek Juliana et Pak Nyoman Juala
Création Costumes: Mireille Doëring-Born et Putu Leeyonk
Création Lumières: Félix Colas et Débora Marchand

Régie : Débora Marchand
Photographies: Rachelle Cassetta
Montage Vidéo Teaser : Brice Garcin

Captation : Lena Birkhold

Graphiste – illustrateur : Jullien Dessailly et Camille Grosperrin

Production 2020 : Autoproduction -  Financement participatif KisskissBankBank

Diffusion 2021 : Compagnie Topèng

Soutient : Commune de Siaugues-Sainte-Marie (Auvergne) – 

La Scène des Quais (Auxerre) –

Association Culture et Développement (Marseille).

DISTRIBUTION

  • Facebook
  • Instagram
  • Vimeo
bottom of page