Public témoin des métamorphoses
Nous avons souhaité emmener le public à vivre l’envers du décor de l’apprentissage – les élans, les espoirs et les doutes qu’il suscite.
Nous avons axé la mise en scène sur des allers-retours entre Paris et Bali, dans lesquels nous utilisons aussi bien le théâtre occidental que le théâtre balinais : des va-et-vient à l’image de l’expérience de vie d’Ana dans sa découverte du Topèng.
Témoin des métamorphoses, le public partage ses vertiges, ses troubles et ses joies, assiste à la magie des coulisses et se trouve dans la confidence.
Nous avons souhaité ne rien cacher : la comédienne ne sort pas de scène et le public assiste aux changements de costumes, à la pose des masques sur le visage, à l’habillement en costume de cérémonie, jusqu'à la transformation complète que nécessite l'interprétation de la danse masqué Topeng Dalem Arsewijaya.
"Ce n'est pas moi, c'est le masque qui danse..."